lundi 25 janvier 2010

CREATION DU COLLECTIF DES 3 REGIONS STOP LGV BRANCHE SUD

Suite à la réunion du 15 janvier dernier à Beaurepaire, les différentes forces en présences (associations et collectifs locaux du Jura, de l'Ain et de la Saône et Loire: CAPEN71, Dole écologie, Jura Nature Environnement, Actif En Bresse, Jura Actif, ACTO, VNEBR, ESR, collectif dolois des opposants à la LGV, Serre Vivante) ont décidé de créer un collectif interégional des opposants au projet de LGV branche sud: STOP LGV Branche Sud.
Différentes actions seront menées en directions des élus, notamment à l'occasion des prochaines élections régionales.
D'ailleurs, à l'occasion des voeux 2010, une distribution de carte de voeux à adresser aux élus du Grand Dole a été effectuée dans les boites aux lettres de certains villages de la région doloise, et de Dole également. Si vous en avez eu une, vous pouvez l'envoyer au Grand Dole, de façon à manifester votre volonté de changer les choses.

Quinze mille manifestants et un envoyé bressan à Hendaye

On n'était pas partis la fleur au fusil, par peur du temps et de la mobilisation, même si une manifestation avait déjà réuni 12 000 personnes plus tôt dans le mois à Bayonne. On est vraiment heureux de la réussite de ce premier rendez-vous. On est devenu un vrai front d'action européen, on tient le martelet partout ! » Jean-Charles Mercier, porte-parole du nouveau « Collectif des 3 Régions, Stop LGV Branche Sud » (Jura, Ain et Saône-et-Loire) était dans le cortège des milliers de manifestants anti-LGV, parmi lesquels des élus (13 000 selon la police, entre 15 000 et 20 000 selon les organisateurs, les associations locales basques) réunis samedi à Hendaye. Les 22 collectifs de France, d'Espagne et d'Italie ont ratifié une déclaration commune d'opposition aux lignes à grande vitesse (LGV), la « charte d'Hendaye » qui sera bientôt diffusée et envoyée à la commission européenne. « La mobilisation a commencé au niveau départemental et on est en train d'effacer les frontières, sans pour autant se substituer aux actions locales. Il faut qu'on ait un réel impact. » D.G.

Article du Progrès du 25/01/2010