Suite à la parution de l'article du 12/10, nous constatons que M.G. Dufay persévère dans l'erreur.
Nous relevons les propos aberrants de la présidente de TransEurope TGV RR qui témoigne de sa méconnaissance du dossier. En effet, Mme Dufay reste la seule (avec peut-être M. Raquin) a vouloir "faire aboutir la branche sud de ce TGV dans des conditions compatibles avec la grande vitesse" alors même qu'RFF, depuis au moins 3 ans (pré-rapport d'étues préliminaires de 2007), a indiqué que la branche sud est techniquement incompatible avec la grande vitesse.
Créer des conditions de grande vitesse reviendrait à dédier la ligne aux seuls voyageurs (voir aussi : http://www.lepays.fr/fr/article/3464677/Il-faut-revoir-la-copie-de-la-branche-sud.html ) alors que le cahier des charges de l'Etat (de 2003) réclame à RFF une ligne mixte fret / voyageur (et non pas voyageur / fret). Mme Dufay, en contradiction avec les fondements mêmes du projet, aurait-elle la prétention (et surtout les moyens) de réclamer à l'Etat une modification du cahier des charges ? Dans cette hypothèse, Mme Dufay pourra-t-elle financer de nouvelles études préliminaires et de nouvelles phases de concertation (de belles années de blablabla en perspective) ? Qu'importe, les quelques dizaines de millions nécessaires à ces études viendront s'ajouter au milliard manquant pour l'achèvement de la branche est, dont "la commission de financement n'est pas encore constituée". Et on ne parle même pas de financer la branche sud.
Pour Mme Dufay, les montbéliardes ne sont probablement pas les seules vaches à lait de Franche-Comté, il y a aussi les Francs-Comtois !
Pour plus de détails, liser le courrier adressé il y a quelques semaines à Mme Dufay par Christian Guillot, président d'Actif en Bresse.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire